... (sous réserve que notre ami @leo. l’autorise)
en effet, d’autres lieux deviennent totalement insipides, et sont hantés par des « Reporteurs d’abus » dont le QI doit être proche de celui nécessaire au simple réflexe respiratoire.
On n’y voit plus que les éternels floods sur les avantages d’un clapier « in being » dans la Pampa de l’Homme de Cro Magnon.
Des joutes épistolaires éphémères entre le scaphandrier de la crue centennale, et le dormeur de clapier, fort de ses rêves de plus values potentielles, mais non réalisées.
Sans compter la prose du tortionnaire du bâti ancestral du Chemin des Dames, qui a au moins le mérite de faire rire.
Exit les grandes rhétoriques probabilistes sur l’être et le devenir du « Dieu Immo », qui donnait au moins le cours de la « Danette ».
Et je ne compte pas les grivois noctambules, dont la prose amuse au début, et lasse ensuite au fil des jours.
N’oublions pas les plus grands bailleurs de tous les temps, qui nous donnent sommeil dès qu’on essaye de déchiffrer leur prose : tout le monde n’a pas la persévérance d’un Champollion.
La mort prochaine de l’immobilier va sans doute laisser tous ces théologiens et tous ces exégètes dans la perplexité.
C’est peut-être pour tout cela que le sujet semble épuisé aujourd’hui d’ailleurs, même que les membres se menacent entre eux, à ce que j'ai cru voir ce jour.
Alors vivement une nouvelle crise, que le verbe soit à nouveau amusant.
Mais je vous dis, à bientôt, dès que j’aurais retrouvé mon mot de passe d’accès de ces lieux.
Le plaisir d’écrire est celui d’être lu, non celui d’être reconnu.